Il existe toute une gamme de détecteurs de fumée sur le marché. Chaque détecteur est légèrement différent et remplit des fonctions différentes. Veillez à acheter celui qui convient à votre logement et à l’installer correctement. N’oubliez pas de tester régulièrement ou de remplacer les piles pour garantir le bon fonctionnement du signal sonore.
Ils fonctionnent en émettant une source de lumière dans une chambre optique, à un angle qui fait que cette lumière n’atteint pas la cellule photoélectrique. En cas d’incendie, la fumée pénètre dans la chambre optique, où le faisceau de lumière est dispersé et touche la cellule photoélectrique, ce qui déclenche l’alarme.
Leur pile doit être changée tous les 12 mois. Certains détecteurs de fumée sont maintenant vendus avec une pile étanche d’une durée de vie de 10 ans.
Cela résout le problème d’avoir à vérifier et changer la pile chaque année. Les experts suggèrent toutefois d’installer un détecteur à pile de secours pour plus de sécurité.
Ils combinent les deux détecteurs indispensables en un seul détecteur de fumée optique également capable de détecter le monoxyde de carbone. Cela permet de réduire les coûts et l’entretien.
Les experts conseillent d’installer dans chaque maison différents types de détecteurs, en combinant les dispositifs à pile et ceux sur secteur. Le détecteur de monoxyde de carbone est indispensable si votre maison est équipée d’un chauffage central au gaz. Privilégiez l’achat de dispositifs d’alarme et de détection certifiés NF (logo ci-dessous). Si vous ne savez pas quel est le bon détecteur pour vous, nous vous conseillons de contacter la caserne de pompiers la plus proche de chez vous.
En France, la législation exige que chaque logement soit équipé d’un détecteur de fumée en état de fonctionnement, dont l’installation incombe au propriétaire ou au locataire. Dans le cas d’une location, le propriétaire doit fournir le détecteur ou bien rembourser à son locataire celui acheté par ce dernier. Ensuite, il incombe au locataire de s’assurer que le détecteur est à tout moment en bon état de fonctionnement. Si votre détecteur n’est pas en bon état de fonctionnement, en cas d’incendie vous ne serez peut-être pas couvert par votre assurance.
Le détecteur « normalisé » doit émettre un signal sonore suffisamment fort pour réveiller une personne endormie en cas d’incendie et doit continuer à fonctionner en cas de dysfonctionnement électrique, c’est-à-dire qu’il doit être alimenté par piles.
Tout détecteur de fumée installé dans un logement en France doit satisfaire aux dispositions réglementaires suivantes :
Le dispositif d’alarme doit répondre à la norme européenne EN 14604 et porter le marquage CE, ou bien le logo NF EN 14604 équivalent. Il doit comprendre un témoin d’alimentation et un bouton de test.
Le détecteur doit être alimenté par des piles dont la durée de vie est d’un an minimum, ou être équipé d’un câble secteur.
Le détecteur doit émettre un signal visuel ou sonore indiquant que les piles sont faibles. Le signal d’erreur doit être différent du signal d’alarme.
En cas de détection de fumée, le détecteur doit émettre un signal d’alarme d’un niveau sonore d’au moins 85 dB(A) à trois mètres.
Les informations suivantes doivent être inscrites de manière indélébile sur le boîtier : la marque ou le nom et l’adresse du fabricant ou le numéro du fournisseur, la date de la norme de référence, la date de fabrication ou le numéro de lot, le type de batterie à utiliser.
Le détecteur doit être fourni avec des instructions d’installation, d’entretien et de contrôle de la sonde, ainsi qu’avec un modèle d’attestation que l’occupant du logement fera parvenir à son assureur en cas de sinistre dû à un incendie.
Chaque année, la France enregistre près de 260.000 incendies domestiques, entraînant de nombreuses vies perdues et de grandes pertes matérielles. Il est important d'avoir les bons équipements de prévention des incendies chez vous afin de protéger votre santé et celle de vos proches. Même si vous n'avez pas de cheminée ou de poêle à bois, il existe de nombreux autres dangers domestiques qui pourraient nécessiter la présence d'un extincteur.
Les fabricants d'extincteurs commerciaux catégorisent leurs produits comme suit :
Classe A
Classe B
Classe C
Classe D
Classe F
Voici un guide pratique pour vous aider à choisir le bon extincteur pour la bonne partie de votre domicile. En cas d'hésitation, nous vous conseillons de contacter la caserne de pompiers la plus proche de chez vous pour obtenir conseils et informations.
Ce type d'extincteur peut être employé pour tous types d'incendies domestiques. Il est particulièrement adapté pour les textiles, le bois, les liquides inflammables et les incendies électriques. Il ne peut être utilisé pour les incendies générés par des graisses ou huiles de cuisson. Cet appareil est adapté aux pièces à vivre et aux garages. Pour la cuisine, un autre équipement est nécessaire ; par exemple une couverture anti-feu.
Les extincteurs à eau sont tout à fait adaptés aux feux se déclarant sur des meubles ou des tapis, mais leur utilisation est dangereuse en cas de présence de liquides inflammables ou de graisses de cuisson. Les extincteurs à eau sont particulièrement adaptés aux chambres à coucher et aux salons.
Les extincteurs à mousse sont particulièrement efficaces sur le bois et les liquides inflammables, tels que le pétrole et les alcools, mais ne sont pas adaptés aux incendies électriques. Ce type d'extincteur trouve sa place dans le garage ou dans la remise, où l'on retrouve généralement ces produits.
La couverture anti-feu doit être placée sur un mur de la cuisine, facilement accessible. Elle peut éteindre de petits feux de cuisine. Elle peut également servir à étouffer des flammes si les habits d'une personne ont pris feu.
Être propriétaire d’une maison équipée d’un foyer et d’un conduit de cheminée, ce n’est pas toujours de tout repos. Il peut par exemple arriver qu'un oiseau se retrouve dans votre conduit... Aucun manuel ne vous dira comment faire et chaque situation sera différente. Mais nous espérons que ces quelques conseils vous permettrons de trouver la bonne solution pour aider l’oiseau (ou autre animal) coincé dans votre cheminée.
Votre premier réflexe serait peut-être d’allumer un feu pour enfumer le conduit et faire sortir l’animal de la cheminée. Il s’agit d’une pratique cruelle, qui peut tuer l’animal et bloquer votre conduit, sans compter l’odeur nauséabonde de l’animal en décomposition... Il existe d’autres solutions pour essayer de le faire sortir.
Si un oiseau (ou autre animal) a décidé que votre cheminée était l’endroit idéal pour faire son nid, c’est parce qu’il s’agit, dans son esprit, d’un endroit sûr, chaud et sec. Bien-sûr, à court terme, rien d’idéal pour vous et vous aurez certainement envie qu’il aille s’installer ailleurs. Une technique a fait ses preuves : mettre de la musique à plein volume dans votre conduit et l’éclairer avec une lumière vive pendant deux ou trois jours. Avec un peu de chance, l’animal décidera de lui-même de partir.
Lorsqu’un oiseau tombe dans votre conduit, il lui est très difficile de se tourner et de voler dans la direction opposée au vu de l’étroitesse de l’espace. Il se retrouve en détresse et s’énerve très rapidement. Dans l’idéal, tentez de le faire venir jusqu’au fond de la cheminée, dans le foyer, et amadouez-le pour qu’il s’échappe par la fenêtre ou la porte. Si vous n’y arrivez pas, mettez-le dans une boîte, puis libérez-le dans la nature ou, s’il est blessé, emmenez-le à l'antenne LPO la plus proche de chez vous.
Lorsque vous aurez réussi à faire sortir l’oiseau ou l’animal de votre cheminée, il pourra être intéressant que vous songiez à mettre un chapeau sur votre sortie de toit. Le chapeau empêche normalement les oiseaux ou autres animaux d’entrer par inadvertance dans votre cheminée. Votre ramoneur ou couvreur sera à même de vous indiquer quel est le chapeau le plus adapté pour votre maison.
N’hésitez pas à contacter votre ramoneur ou un expert en faune sauvage, ils seront toujours en mesure de vous donner des conseils sensés. Ils gèrent chaque semaine des problèmes de ce type, en particulier en période de nidification. Ces experts disposent de l’équipement adéquat pour faire sortir un oiseau d’une cheminée en générant le moins de stress pour toutes les parties concernées.
Si vous avez vos propres trucs et astuces pour faire sortir un oiseau de la cheminée, nous avons hâte de les connaître ! Partagez-les sur notre page Facebook, sur Twitter ou par e-mail.
Chez Zip™, la prévention des incendies est un sujet qui nous tient à cœur et il arrive souvent que l’on nous sollicite pour des conseils très divers, comme par exemple la nécessité ou non de ramoner une cheminée ou la manière d’utiliser un pare-feu. Pour vous faciliter la tâche, nous avons compilé les questions les plus fréquemment posées.
Q : À quelle fréquence dois-je faire ramoner ma cheminée ?
R : Divers éléments sont à considérer pour déterminer la fréquence de ramonage. Voici nos recommandations :
De nombreuses compagnies d'assurance exigent désormais d'avoir la preuve qu'un ramonage a été effectué par un ramoneur certifié. Nous vous conseillons de consulter les détails de votre police d'assurance afin de vous assurer que vous serez couvert en cas de besoin.
Q : Comment éviter l’accumulation de créosote et de goudron dans ma cheminée ?
R : Pour qu’il ne reste aucun résidu dans votre cheminée, utilisez uniquement du bois sec et faites régulièrement ramoner votre cheminée. L’utilisation de bois ou de tout autre combustible mouillé ou humide peut donner lieu à l’accumulation de créosote et de goudron, qu’il faut ensuite retirer. Une belle flambée peut enflammer ces résidus et déclencher un départ de feu dans le conduit. Pourquoi ne pas tenter le produit Zip™ Anti-Suie ?
Q : Où dois-je stocker mes allume-feux et mon combustible ?
R : Les allume-feux doivent être entreposés à l’écart de l’environnement proche du feu, dans un endroit sec et frais. Beaucoup de personnes les posent juste à côté du feu, sur l’âtre, pour des raisons pratiques, mais cela représente un risque d’incendie. Nous vous conseillons de les mettre dans une boîte en métal, à distance de toute nourriture et hors de portée des enfants et animaux.
Le bois, le charbon ou tout autre combustible doivent être stockés dans un endroit sec bien ventilé, pour que l’humidité s’évapore rapidement et que votre combustible soit bien sec. Plus le combustible est humide, plus il sera difficile à allumer.
Q : Quel est le bon combustible pour mon poêle ?
R : Suivez toujours les recommandations du fabricant.
Q : Faut-il un bon apport en air ?
R : Pour un foyer ouvert, la cheminée fournit normalement suffisamment d’air pour « tirer le feu ». Toutefois, pour un appareil de chauffage clos, comme un poêle, il faut un débit d’air adéquat pour que la combustion se fasse correctement. Vérifiez que les pièces équipées d’un foyer sont bien ventilées avec de l’air frais. Il arrive qu’un petit courant d’air venu de l’extérieur améliore l’efficacité du foyer, ou que le déplacement du vent autour de la sortie de toit contribue à faire circuler l’air. Toutefois, les foyers sont généralement moins performants les jours de grand vent, celui-ci s'engouffrant dans la cheminée.
Si vos fenêtres sont calfeutrées ou à double vitrage, il peut être judicieux d’envisager l’installation d’un conduit d’aération pour que de l’air frais pénètre dans votre pièce.
Q : Quelles précautions dois-je prendre pour m’assurer que mon feu ne génère pas des gaz nocifs ?
R : Pour que votre feu ne génère pas de gaz nocifs, l’apport en oxygène doit être suffisant pour garantir une combustion complète de votre combustible. Pour ce faire :
Q : À quelle fréquence dois-je retirer les cendres de mon foyer ?
R : L’accumulation de cendres peut endommager votre appareil, il est donc important de les retirer avant de faire un nouveau feu. Laissez les cendres refroidir avant de nettoyer le foyer (idéalement le lendemain). Si les cendres proviennent de la combustion de bûches de bois, il est possible de les utiliser dans votre jardin, comme engrais. On y trouve 13 nutriments essentiels qui contribuent à la bonne croissance des végétaux. Les cendres aident également à maintenir un sol neutre.
Q : Quand dois-je utiliser un pare-feu ?
R : Zip™ recommande d’utiliser un pare-feu dès lors que l’on a un foyer ouvert. Placez toujours un pare-feu devant votre foyer ouvert avant de vous en éloigner. Assurez-vous que le pare-feu est ignifugé et qu’il n’est pas constitué de matériaux inflammables (plastique, tissu…).
Disposez toujours un pare-feu lorsque des enfants en bas âge ou des animaux de compagnie peuvent toucher ou s’approcher de l’appareil. Les poêles à bûches montent à des températures élevées ; leur vitre devient également extrêmement chaude et cause, en cas de contact, des cloques ou des brûlures très graves.
Lorsque l’on a une cheminée, elle devient le véritable cœur de la maison grâce à la chaleur et à la sensation de bien-être qu’elle procure. Mais pour en tirer le meilleur parti et se simplifier la vie, il est important de bien s’équiper : vous pourrez ainsi profiter de la douce chaleur de votre foyer sans passer votre temps à attiser la flamme !
Le pare-feu s’impose comme l’accessoire indispensable dès lors que l’on fait du feu en intérieur. Il s’agit d’un panneau composé d’un treillis métallique que l’on dispose devant le foyer pour éviter la projection d’étincelles (sur un tapis, par exemple) qui pourraient entraîner un départ de feu. Le pare-feu sert également à protéger les enfants en bas âge et les animaux de compagnie qui s’approcheraient trop près du foyer ou du poêle allumé.
Également appelé attisoir, le tisonnier est une tige métallique munie d’une poignée isolée, avec laquelle on remue la braise et les tisons qui brûlent dans le foyer. Il présente parfois une extrémité relevée pour aider à retourner les bûches sur la grille de foyer. Le tisonnier s’avère être un outil très utile pour les cheminées de grande taille.
La pelle est un outil multi-fonctions pour la cheminée ou le poêle. À l’instar du tisonnier, elle permet de déplacer les braises et les bûches. Elle est parfaite pour enlever l’excès de cendres une fois le feu éteint. La pelle plate est la plus adaptée pour ramasser un maximum de cendres en un seul passage et peut atteindre les recoins de la grille de foyer ou du tiroir à cendres.
La pince sert, avec la pelle et le tisonnier, à manipuler les tisons et la braise. Son avantage tient dans le fait qu’elle permet de saisir et serrer les éléments présents dans la cheminée. La pince est souvent utilisée pour prendre du charbon dans le seau à charbon et le mettre dans le feu, ce qui vous évite de vous retrouver avec les mains toutes noires.
La balayette fait exactement ce que son nom indique : elle permet de nettoyer les cendres qui restent au fond de la grille de foyer une fois le feu éteint.
Le soufflet sert à diffuser une quantité d’air comprimée mais contrôlée en un endroit précis du foyer afin d’alimenter les flammes en oxygène. Le soufflet est généralement actionné à la main, pour faire entrer l’air qui est ensuite expulsé à travers le bec. Il est tout particulièrement utile si vous n’avez pas envie d’avoir à souffler violemment sur les flammes pour qu’elles atteignent tous les recoins de la grille de foyer. Grâce à lui, vous ne serez plus à bout de souffle !
Les chenets sont souvent considérés comme un accessoire décoratif. Ils se composent généralement de deux barres horizontales servant à soutenir les bûches placées dans l’âtre, afin que celles-ci n’étouffent pas le feu. Les chenets aident à la combustion et évitent l'accumulation de fumée.
Il s’agit d’un petit seau en métal muni d’une poignée. Si les modèles varient, ils ont tous, pour l’essentiel, la même fonction. On peut y déposer les cendres parfois chaudes, voire brûlantes, avant de les jeter. Certaines personnes utilisent les cendres comme engrais dans le jardin, avec une efficacité prouvée au pied des rosiers.
Outre notre passion pour l’allumage des feux, nous tenons à partager avec vous notre amour et notre enthousiasme pour tout ce qui touche au feu. Et notamment en ce qui concerne les bois qui vous donneront un feu intense et bien chaud et ceux qui, il faut bien l’avouer, relèveront plus du pétard mouillé.
Le bois est un combustible naturel et durable pour les feux à usage domestique, utilisé depuis le tout premier feu il y a des milliers et milliers d’années. Lorsque nous chauffons nos maisons au bois, nous perpétuons un cycle partagé par nos ancêtres de longue date. Le bois alimentait les feux à ciel ouvert des chasseurs-cueilleurs, les fours en brique des premiers boulangers et, jusqu’au XIXe siècle, chaque maison.
Aujourd’hui, nous prenons toujours le même plaisir à nous asseoir au coin du feu, et c’est tout naturellement vers lui que l’on se dirige lorsque l’on a besoin de se réchauffer. Il nous est tous arrivé de rentrer éreinté chez nous, dans une maison froide et de ne souhaiter qu’une seule chose, une belle flambée en un clin d’œil.
En sachant quel bois utiliser, vous réchaufferez plus vite votre maison, ce qui vous laissera plus de temps pour vous détendre et profiter de votre repos bien mérité après une dure journée. Que vous vouliez admirer de superbes flammes ou vous relaxer avec un verre de vin, profitez de votre feu avec les allume-feux Zip™ et le bois adapté :
Bois générant une chaleur immédiate et intense :
Bois de combustion lente générant une bonne chaleur :
Bois non conseillés :
Bois d’allumage :
Le tremble, le tilleul, le peuplier, le châtaignier, le tulipier et l’épicéa génèrent relativement peu de chaleur et bien qu’ils soient faciles à brûler, ils éclatent, projettent des étincelles et produisent une quantité assez importante de fumée. Néanmoins, ils sont plus adaptés à l'allumage du feu.
Si vous avez d’autres trucs et astuces pour bien choisir le bois, nous avons hâte de les connaître ! Partagez-les sur notre page Facebook, sur Twitter ou par e-mail.
Les détecteurs de chaleur sont conçus pour vous avertir d’un feu dans votre logement. Ils NE REMPLACENT PAS les détecteurs de fumée, dont les chambres, l’entrée, etc., doivent être équipées afin que vous ayez davantage de temps pour évacuer les lieux ou éteindre l’incendie. Les détecteurs de chaleur doivent être situés dans la cuisine et les pièces annexes, voire les garages, c’est-à-dire les pièces où l’on trouve souvent des sources de chaleur (chaudière, cuisinière…).
Quels sont les différents types de détecteurs ? Il en existe principalement deux :
Il s’agit de la forme la plus commune. Ces détecteurs réagissent lorsque leur alliage eutectique sensible à la chaleur atteint son point de fusion, ce qui fait passer l’alliage de l’état solide à l’état liquide. Cette transformation survient lorsque l’air ambiant dépasse une température déterminée.
Le détecteur thermovélocimétrique réagit lorsque la vitesse d’augmentation de la température ambiante est égale ou supérieure à la valeur de changement déterminée pour le fonctionnement du détecteur. Une augmentation de température au capteur de 9°C ou plus par minute active la fonction thermovélocimétrique. Celle-ci ferme les contacts du capteur pour transmettre l’état d’alarme au panneau de contrôle d’alarme incendie.
Monoxyde de carbone
Pour votre sécurité et celle de votre famille, il est souhaitable d’installer un détecteur de monoxyde de carbone dans votre logement. À l’instar du détecteur de fumée, qui vous avertit de la présence de fumée, le détecteur de monoxyde de carbone vous avertit de la présence de monoxyde de carbone. Le monoxyde carbone étant invisible, sans odeur ni goût, vous pourriez donc ne pas vous rendre compte de sa présence.
Il est recommandé d’installer un détecteur de monoxyde de carbone dans chaque pièce où se trouve un appareil à gaz. Suivez toujours les consignes du fabricant quant à l’emplacement, au test et au remplacement du détecteur. Remarque : il est important de choisir un détecteur qui vous réveillera si vous êtes endormi, sinon vous ne vous rendrez peut-être compte des tout premiers symptômes d’intoxication au monoxyde de carbone que lorsqu’il sera trop tard.
Où puis-je me procurer un détecteur ?
Les détecteurs de monoxyde de carbone s’achètent dans les magasins de bricolage, les supermarchés ou auprès de votre fournisseur d’énergie.
Recommandation générale
Les experts recommandent de combiner les deux détecteurs de chaleur, qui réagiront lorsque l’élément thermostatique atteindra son point de changement. N’oubliez pas d’installer des détecteurs de fumée dans votre logement, de les entretenir et de vérifier régulièrement que les piles fonctionnent.
Et puisque vous protégez votre logement contre le feu et la fumée, pourquoi ne pas en profiter pour installer un détecteur de monoxyde de carbone ? Ainsi vous assurerez-vous que votre chaudière à gaz fonctionne correctement, sans émanations toxiques. Mieux vaut prévenir que guérir !
1. Un feu est un évènement, non une chose. En faisant chauffer du bois ou d'autres combustibles, on libère des vapeurs volatiles qui peuvent rapidement entrer en combustion au contact de l'oxygène présent dans l'air. Les étincelles qui en résultent contribuent à réchauffer le combustible, libérant davantage de vapeurs et perpétuant ainsi le cycle.
2. La Terre est la seule planète connue où le feu peut exister. Partout ailleurs , il n’y a pas assez d'oxygène.
3. La quantité d'oxygène présent influence la couleur des flammes. Un feu peu riche en oxygène contient de nombreuses particules combustibles non brûlées, et ses flammes émettent une lueur jaune. Un feu riche en oxygène émet une lueur bleue.
4. Les flammes émises par les bougies sont donc bleutées en bas, car c'est là qu'elles entrent au contact de l'air frais, et elles émettent une lueur jaune vers le haut car les fumées se dégageant d'en bas étouffent partiellement la partie supérieure de la flamme.
5. À l'inverse, plus il y a d'oxygène, plus le feu sera chaud. L'air contient 21 pour cent d'oxygène ; mélangez de l'oxygène pur à de l'acétylène, un composé chimique proche du méthane, et vous obtiendrez un chalumeau oxyacétylénique qui brûlera à plus de 3000 degrés Celsius. Il s'agit du feu le plus chaud que vous pourriez produire.
6. Le grand incendie de Londres de 1666 réduisit 80 pour cent de la ville en cendres, mais il mit également fin à une épidémie de peste bubonique qui avait tué plus de 65 000 personnes l'année précédente. L'incendie brûla les rats et puces porteurs de Yersinia pestis, la bactérie responsable de cette épidémie de peste.
Si vous-même avez des astuces ou anecdotes au sujet des feux et des incendies, nous aimerions beaucoup les connaître ! Partagez-les sur notre page Facebook, ou adressez-nous un Tweet ou un courriel.
Il est toujours préférable d’avoir à tout moment deux ou trois bûches dans votre foyer, pour l’ambiance chaleureuse qu’elles procurent mais aussi pour des raisons… scientifiques.
Si vous ne placez qu’une seule bûche dans la grille de foyer, elle s’éteindra probablement. En effet, la combustion des fibres des bûches se déroule en plusieurs phases, et une bûche seule ne sera pas en mesure de maintenir le processus ou la vitesse de combustion. À plusieurs, les bûches combinent et augmentent leur surface de combustion et créent donc une turbulence d’air et de flammes qui maintient le processus de combustion.
C’est pourquoi en fin de soirée, la toute dernière bûche reste dans la grille, carbonisée et désespérément seule.
Le bois vert, fraîchement coupé, se compose en réalité de 50 % d’eau et ne brûle donc pas bien. Si vous l’utilisez pour faire du feu, celui-ci va crépiter et générer beaucoup de fumée. Pour éviter ce type de problème, veillez à utiliser du bois de chauffage correctement séché. Si vous faites vous-même sécher votre bois, n’oubliez pas que cela prend du temps, environ un été complet ! Si vous ne disposez pas d’autant de temps, il y a forcément près de chez vous de très bons fournisseurs de bois à même de vous proposer des bûches de qualité.
Il est vraiment important que votre poêle reste bien propre. Dans l’idéal, enlevez une fois par an la suie qui s’accumule dans le poêle et le conduit. Il suffit de quelques millimètres de suie pour réduire sérieusement la conduction thermique.
Ne laissez par la porte de votre poêle ouverte, sauf si le fabricant le recommande pour l’allumage du feu. Cela réduit le rendement du poêle et permet à l’air chaud de s’échapper directement par la cheminée.
Veillez à utiliser 2 ou 3 bûches à la fois. Si vous ne placez qu’une seule bûche, elle s’éteindra probablement. En effet, la combustion de la bûche se déroule en trois étapes et une bûche seule ne sera pas en mesure de maintenir son propre processus de combustion... raison pour laquelle il est important d’en mettre plusieurs à la fois !
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